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1995
Jean Pierre Duperey, dont je fus le partenaire dans "Les Vagabonds",
à qui je dois (même involontairement) les
Degrés symboliques, prépare un spectacle au
Théâtre Toursky de Marseille sur un texte de Marie
Cardinal : "La mule de Corbillard". Il me demande d'imaginer une
scénographie (y compris sonore), lui s'occupant de la
direction d'acteur. (du 27/12/94 au 09/02/95).
Comme
d'habitude tout arrive en même temps. Catherine Brieux monte
"Le bout de la route" de Jean Giono, à Auxerre. La
première a lieu le 26 janvier.
Marseille jusqu'au 14 mars, ensuite Le Mans, pour un autre spectacle,
dont je ne fais que la bande sonore : "Éclats de vie", de
Bernadette Rollin.
On reprend le "Van Gogh" au Lucernaire encore une fois ( la
pièce va être jouée plus de 800 fois)
Reste à peindre sans relâche : j'expose
à l'Orangerie du Sénat en août : 70
toiles.
Entre temps, le 3 octobre, je suis devenu professeur à
l'Atelier du Passage, dans le joli Passage Geffroy-Didelot, qui relie
la rue des Dames au boulevard des Batignolles. Entre 14h à
17h, J'ai deux élèves : deux
Françoise. .
Enfin, rue de Seine, chez Lilianne François, j'expose pour
la troisième fois, tout au long du mois de
décembre.
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1996
Les cours n'occupent que le mardi après-midi, mais le nombre
des élèves grandit rapidement. Ils sont 13 le 16
janvier. Il faut penser à s'agrandir. Le 27
février, on ouvre le matin, de 10h à 13h..
Salon de" Marly-le-Roy
Autre décor, autres lumières: "Il ne faut jurer
de rien" (15 avril).
Mardi 14 mai, j'ai 18 élèves répartis
sur la journée, ce qui fait qu'à la
rentrée de septembre, j'ouvre le lundi et le mardi toute la
journée.
Salon d'Autombe
Galerie Shemes à Lille.
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1997 Un projet me
passionne particulièrement. Il s'agit d'aller
éclairer l'intérieur de la Cathédrale
de Chartres pour le Festival du sacré qui va s'y tenir
à la fin du mois de janvier. Je suis enfermé 8
nuits de suite dans la Cathédrale pour y régler
les lumières, trouver mes angles, écouter son
silence. C'est un immense moment.
On y donne "Thérèse", une évocation du
parcours en étoile filante de la Sainte.
Autre moment de grâce :
auprès d'Olivier Latry, organiste titulaire des grandes
orgues de Notre-Dame-de-Paris, qui m'est présenté
par Gilles, grâce à qui je peux photographier la
nef pendant l'office du haut de la mezzanine, en vue d'un tableau
à composer.
Toute l'année passe à peindre, mais comme
à présent je peins à l'huile, le
rythme n'est plus le même : que 10 oeuvres.
Les toiles sont exposées dans la Galerie qui m'accueille
à présent : "Mouvances", place Vosges, sous la
direction de la belle et délicate Sylvie Auteff, et s'en
vont au quatre coins du monde.
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1998
Déménagement des Epinettes aux Dames. Il faut se
rendre à l'évidence : il faut ouvrir aussi le
soir. Je suis donc à l'Atelier du Passage de 10 h
à 21h30 le lundi et le mardi. avec cinquante
élèves en tout.
Croix d'Argent Mérite et Dévouement.
Expo à Rochevilaine.
Une commande m'envoie à Florence. Pendant le voyage en
train, j'écris un essai sur ce que pourrait être,
aujourd'hui, une technique idéale pour une peinture
classique. (ici)
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1999
Nouvelle exposition chez Sylvie Auteff, place
des Vosges.
Le 31mars, la mort de mon père. Je trouve des papiers de
famille, pratiquement tous les documents qui me permettent
d'établir ma généalogie et, avec
l'aide d'un praticien élève de l'Atelier,
j'étudie la piste de la
psychogénéalogie. Il m'est possible
d'écrire l'histoire de la lignée depuis 1800.
C'est le travail de presque toute l'année, ce qui
n'empèche pas de peindre.
Sans exactement le savoir, je suis revenu au point de départ
de ma famille, rue des Dames, où travaillait mon
grand'père maternel, rue Lévis où une
cousine avait un magasin de chaussure, et Passage Geffroy-Didelot
où mon oncle et ma tante venaient danser, chez Tony Murena.
J'éprouve beaucoup de plaisir à être
local (et localisable !)
"Le Malentendu", de Marcel Camus. Lumières, affiche.
"Pardon Platon", décor, lumières, affiche.
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2000
Préparation du disque et du spectacle de Pascal Danel au Cirque d'Hiver.
(pochette, livret et campagne de presse). Lumières des
"Règles du savoir vivre" au Théâtre de
Grenoble, repris à Beauvais. La connaissance de ma
généalogie bouscule un peu mon programme des
degrés symboliques. Il faut faire une place pour "Paris
l'intemporel".
Salon Violet.
J'entre dans le groupe des "Maxiréalistes"
présidé par Dan Jacobson. On dirait qu'il a
créé cette catégorie pour moi !!! L'
Exposiition a lieu au salon Comparaisons en janvier en compagnie de
peintres admirables tels que Michèle Battut, Christian
Broutin, Michel Bez, Michel Dubré, Patrick
François, Nadine Leprince, Nicolae Maniu, Michel Plaisir et
Jeanne-Marie Veron. (La liste n'est pas définitive !) Des personnes merveilleuses qui peignent superbement.
2001
"Les fausses confidences", aux Cinq Diamants, crée à Auxerre, Décor et lumières.
Médaille de Bronze des Artistes Français.
Prix de l'Académie des Beaux-Arts.
Prix Brizard.
Galerie Thuillier.
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2002
Ouverture de "La Menuiserie" avec Muriel Bourra et Pascal Poitoux,
galerie qui nous sert d'Atelier, au 106 rue des Dames 75017. On y
expose volontiers les amis professionnels : Jean Soyer, Yves Michel, Yo
Coquelin, Serge Poujon, puis parmi les bons
éléments de l'atelier : Rebecca Hong, Anne-Marie
Souhaité et quelques artistes extérieurs,
photographes et graveurs. http://www.atelierdartistes.fr
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2003 Expo des Maxiréalistes au salon Comparaisons
en janvier à l'espace Auteuil. L'atelier
du Passage et "La Menuiserie" deviennent complémentaires
pour enseigner les techniques de la peinture. Tout ou presque y est
abordé entre les deux ateliers : le couteau, l'abstrait,
l'impressionnisme, la copie d'ancien, le figuratif, le
réalisme fantastique, l'hyperréalisme et le
maxiréalisme. "La Menuiserie" se spécialise dans
les techniques classiques de la figuration. Petits effectifs, travail
minutieux. |
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2004 Salon comparaisons
en janvier, Expo Club Agora : "Paris Intemporel" le 1er avril, rencontre le groupe Peuplade en Juin, Expo à Bordeaux en Septembre. Création du site_magazine "Oeillades". |
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2005 Affiche, décor et Lumières pour "Les caprices de Marianne"; 23 mars Mort de Simone
Bénard mère.
Commande peinture.
Expo galerie Avant-Scène, le 27 mai ; Expo " Les Maxiréalistes" au
Musée de l'Ile-Adam et au Chateau d' Auvers-sur-Oise en juin.
"La vision d'un abruti ne peut donner qu'un monde absurde". |
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2006 Salon Comparaisons.
Exposition à Versailles, puis à Lamballe. Poursuis le thème "Paris Intemporel" avec "Les passagers" et "Le gay moulin" |
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2007
Exposition très sympathique à Villepreux.
Le succès de l'entreprise se confirme, tant à
l'Atelier du Passage qu'à "La Menuiserie".
Le Passage totalise 240 personnes par semaine pour cinq professeurs,
toutes techniques confondues. La "Menuiserie" , avec ses petits
effectifs (sept personnes par session) en accueille 120 pour 4
professeurs. Ce qui me fait quatre jours pleins, de 9h à 23h
(quatorze heures en une journée pour une moyenne de trente
personnes par jour, ce qui totalise 120 personnes en 48 heures !)
j'y poursuis mon travail de peintre, mais je ne sais plus comment.
Nouvelles alarmantes de la Creuse. Simone est hospitalisée
à Guéret le 23 avril.
Le 11 mai, Simone Faget nous quitte. Inhumée le 15.
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2007
Fermeture définitive du Théâtre des
Cinq Diamants, après le décès du
propriétaire.
25 Mai :Voyage à Rouen avec les élèves.
Juin : Création de la Galerie Virtuelle sur Second Life.
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2008
Préparation de l'exposition "Paris l'Intemporel", Galerie
Mouvances, Place des Vosges, pour mars 2009 avec le concours du
magazine "Univers des Arts". L'idée est sur le magazine "Oeillades".
A l'Atelier du Passage, le paysage Anglais est à l'honneur.
Expo en janvier 2008.
Mais voici que j'arrive à soixante quatre ans. Je fatigue et
n'arrive plus à peindre.
Je quitte l'Atelier du Passage en juillet avec un choix d'élèves pour migrer vers "La Menuiserie". Je
m'installe dans l'atelier de Sophie et Nicole pour y peindre tranquillement l'objet de la prochaine expo.
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